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Témoignage de Christine Calvo, franchisée Dreams Donuts Salon-de-Provence

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SON PARCOURS :

« Mon parcours professionnel a essentiellement été tourné vers la vente : j’ai commencé avec un CAP vente jusqu’au BTS Commerce, puis j’ai continué dans ce domaine jusqu’à l’arrivée de mon premier enfant. J’ai ensuite repris un emploi salarié au Darty de Salon-de-Provence. Ça a été une super expérience, avec des patrons exemplaires et une équipe formidable.

Lors de la crise du COVID, une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps refait surface : celle d’ouvrir mon propre commerce. L’enjeu était de trouver le bon timing et les bons compromis entre vie professionnelle et vie familiale. Quand on a de jeunes enfants, on a tendance à mettre ses rêves de côtés, donc quand ils sont devenus plus autonomes, j’ai pu envisager de me lancer. 

J’ai la chance d’avoir un époux formidable, pas une fois il m’a retenue, au contraire, il m’a poussée, accompagnée, épaulée comme jamais dans les moments de doute. C’est d’ailleurs lui qui m’a emmené au Salon de la Franchise à Paris, où j’ai pu rencontrer la franchise Dream’s Donuts, pour qui j’ai eu un vrai coup de foudre ! Etant très gourmande, la créativité et la gourmandise de leurs produits me correspondaient totalement. 15 jours après cette rencontre, l’aventure Dream’s Donuts a commencé ! »

SON PROJET :

« J’ai choisi de m’appuyer sur une franchise car j’ai été très rassurée par leur encadrement : ils m’ont proposé un panel de professionnels pour m’accompagner, et j’ai reçu l’aide d’une courtière qui connaissait très bien le sujet, elle a pu répondre à toutes mes questions et faciliter mes prises de rendez-vous avec les autres professionnels. Grâce à elle, mon projet était carré dès le départ. Pour l’anecdote, les 5 sollicitations bancaires que nous avons effectuées ont été acceptées.

C’est aussi cette courtière qui m’a conseillé d’aller chercher des aides de la Ville, la garantie France Active PACA égalité femme, qui était la plus adaptée et rassurante au vu de ma situation, mais aussi l’aide du réseau Initiative.

Je tiens à dire que chez IPS, il n’y a que des personnes formidables, toujours à l’écoute, toujours présents, souriants, ils sont vraiment géniaux. Les rendez-vous d’experts sont très utiles pour mettre des points d’alerte, soulever des interrogations, et avoir échanges très instructifs pour tous ! Mon avocate et mes assureurs pro sont par ailleurs des partenaires d’IPS. »

SA SUCCESS STORY :

« Chez Dream’s Donuts, on vend essentiellement des donuts, mais on propose aussi des gaufres, crêpes, New York rolls, pop dots (spécialités belges et américaines), et des boissons chaudes et froides premium. Cette offre permet de nous adapter à toutes les saisons !

La force du donut, c’est qu’il est devenu universel grâce à la pop culture, et on propose plus de 20 saveurs différentes pour satisfaire tous les goûts ! Tous les donuts sont fabriqués à partir de produits de marque et haut de gamme (chocolat au lait 38% par exemple). De plus, ils se conservent 48h dans leur boîte à température ambiante, ce qui permet de les faire durer tout le week-end !

J’ai voulu faire une boutique qui soit très « instagrammable » où les jeunes se sentent bien et libres de faire des vidéos et photos pour leurs réseaux sociaux. Je pense qu’on a tapé dans le mile car les gens sont très attirés de l’extérieur et rentrent parfois juste pour prendre la boutique en photo. Cette ambiance n’empêche pas la clientèle plus âgée de trouver son bonheur, j’ai même réalisé des box personnalisées pour les 81 ans d’une dame qui n’en avait jamais mangé !

Pour la localisation, c’était Salon-de-Provence ou rien du tout, car c’est ma Ville de cœur ! La Mairie a tout fait pour faciliter mon installation, notamment en m’octroyant une petite terrasse qui me permet d’accueillir mes clients en extérieur, et je les remercie beaucoup. »

SON CONSEIL :

« Si je devais donner un conseil à une femme qui souhaite se lancer, je lui dirai d’être encadrée par des professionnels, et de ne pas faire faire les choses par ses proches pour leur faire plaisir ou parce que c’est gratuit. Chacun son métier, si quelqu’un te propose de l’aide pour réaliser ton prévisionnel et qu’il est comptable prend-le, mais s’il ne l’est pas, qu’il fait ses comptes chez lui mais qu’il est mécanicien, ne le prend pas ! Il existe de nombreux dispositifs pour aider les femmes et il faut aller les chercher, mais il faut que le dossier soit carré pour pouvoir en bénéficier. Mon prévisionnel et ma capacité à le comprendre et le présenter en détail ont été le fil conducteur qui m’a ouvert toutes les portes ».

Comme Christine, vous souhaitez vous lancer dans l'entrepreneuriat ? Contactez-nous, ou rejoignez-nous le 8 mars 2024 pour notre évènement "Elles Entreprennent" !